Découvrez nos professeurs pour les stages :
- Semaine Lindy :
- Week-end lindy et Solo Jazz :
- Daniil et Maria
- Laure et Aurélien
- Chloé et Peter
- Et un autre couple !
Présentation des professeurs
Maria
Maria a commencé à danser le boogie-woogie à Yaroslavl, en Russie, en 2009, à l’âge de 15 ans. Depuis, la danse est devenue la partie la plus fondamentale de sa vie, d’abord comme un petit hobby, puis comme sa passion première, sa profession et qui sait, peut-être même sa mission pour la vie.
En 2012, elle a déménagé à Moscou et a rencontré Daniil Nikulin, qui est devenu son partenaire de danse depuis au moins 10 ans. À Moscou, elle a découvert le lindy hop et s’est retrouvée complètement amoureuse de la musique et de la danse jazz pour la profondeur, la liberté et la joie qu’elles lui procurent.
Depuis 2016, Maria a été invitée à enseigner, à se produire et à participer à de nombreux événements de danse swing dans plus de 20 pays à travers le monde, elle a obtenu plusieurs placements dans des compétitions de haut niveau en Europe et aux États-Unis.
Maria est convaincue que la danse jazz est une forme d’art où l’on peut s’exprimer et c’est quelque chose que le monde, à grande échelle, a besoin de découvrir – l’endroit où tout le monde est uni et connecté, accepté dans sa propre singularité.
Daniil
En treize ans de carrière, Daniil a exploré les différentes facettes de la danse jazz, a remporté de nombreuses compétitions en Europe et aux États-Unis, et a voyagé dans plus de 23 pays pour partager sa passion de la danse à travers l’enseignement et le spectacle.
Il jouit d’une réputation d’artiste de classe mondiale, Daniil est toujours resté un amateur de café introverti qui ne peut tout simplement pas résister à un bon rythme de Duke Ellington.
Anaïs et Nathan
Nathan et Anaïs se sont connus à Caen en 2016. La rencontre de leur approche décontractée et musicale de la danse a donné lieu à un presque coup de foudre artistique et amical.
Septembre 2017, ils commencent à donner des cours ensemble à Caen Ça Swing et à explorer les abysses de la connexion et à exploser les frontières entre les rôles. Ils gambadent maintenant à travers la France pour donner des cours et enrichir leur danse.
Ils aiment voir leur pratique comme un laboratoire de recherche autour du swing et de la musicalité et vous les verrez souvent parler de switch, de backleading ou encore d’énergie parce que ces éléments sont devenus la colonne vertébrale de leur danse.
À coups de mots inventés et de métaphores débiles mais efficaces, Nathan et Anaïs enseignent un swing vivant, expressif et choupinou, mettant l’accent sur le ressenti et l’expression personnelle.
Anaïs
Formée dans de nombreux festivals en France et à l’étranger, Anaïs a commencé à enseigner le swing et le blues à Caen en 2015. Depuis, elle a déposé ses valises à Grenoble où elle donne des cours hebdomadaires dans plusieurs écoles et associations. Ce qui lui tient à cœur : la transmission de la joie, de la liberté et de la musicalité dans la danse ! Grande adepte du switch, vous la verrez sûrement danser et enseigner dans les deux rôles (leader et follow). Comment la reconnaître ? Elle utilise toujours une quantité démesurée de métaphores pour étayer ses propos et ses mouvements !
Nathan
Entré dans le monde du swing en 2016 Nathan a immédiatement adoré le partage et la rencontre qu’offrait le swing. Son approche de la danse est naturelle, décomplexée et fun avant tout. Un rire gras au milieu de la piste ? C’est sûrement lui. Ce qui lui plaît, c’est la connexion à la musique et l’incarnation personnelle que chacun.e peut en faire aussi bien à travers des rythmes que des formes bizarres. L’autre chose qu’il adore, c’est le jeu et la complicité avec ses partenaires, aussi bien en solo qu’en couple. Parce que le swing se danse avec tout le monde, il danse autant en leader qu’en follower.
Chloé et Peter
Chloé Boucard, Française et originaire de Cherbourg en Normandie. Elle a commencé par la danse de salon à l’âge de 17 ans. Elle découvre le swing en 2010 pendant ses études d’orthoptie. Un an plus tard, elle commence l’enseignement à Rennes, puis déménage à Cherbourg où elle crée sa section Lindy Hop dans une école de danse. Très vite les propositions tombent pour enseigner en France et en Europe avec Peter Wishart
Peter Wishart, anglais, originaire de Jersey, a commencé à danser dès l’école primaire. Arrivé en France il se passionne d’abord de break dance. A l’université il découvre la danse à deux et fait sa première rencontre avec le lindy Hop.
Fondateur puis directeur de l’association Hop’n Swing à Rennes et du Crep Swing Festival pendant 6 ans, il a contribué à la croissance de la scène swing de Rennes et du grand ouest en tant qu’organisateur et professeur.
Peter et Chloé dansent et enseignent ensembles dans des nombreux stages et festivals en France et en Europe depuis six ans.
Ils aiment partager leur passion pour la danse et se donnent sans retenu. Ils sont reconnus pour leur grande énergie, une attitude positive, de la créativité et de la joie. Dans leurs cours ils mettent l’accent sur la création d’une relation “fun” et équilibrée entre les partenaires, et sur les façons dont cela apporte à la musicalité, à la connexion, à la technique et à la liberté d’improvisation et d’expression.
Ils enseignent le Lindy Hop, le solo Charleston, le Blues et le Balboa.
Surtout, ils sont de véritables danseurs sociaux.
Laure et Aurélien
Laure et Aurélien vivent actuellement à Lyon. Organisation de soirées, cours, organisation de stages, Laure et Aurélien s’impliquent dans le développement de la scène lyonnaise, notamment au sein de l’école Shall We Swing?
Laure Molegnana
Laure a commencé les danses swing par le solo jazz avant de se mettre au lindy hop. Toujours prête à apprendre de nouvelles techniques, elle s’est récemment mise au cerceau aérien. Énergique et expressive, vous ne pouvez pas la manquer sur la piste de danse !
Aurélien Faravelon
Aurélien s’est rapidement passionné pour le lindy hop après l’avoir découvert à Grenoble. La plupart du temps, si vous le cherchez, vous pouvez le retrouver sur le dance floor.
Photo d’Arsène Marquis
